Merci Monsieur Klees, pour votre appel Ă la raison dans Le Soir.
Je commençais Ă m’inquiĂ©ter de votre silence prolongĂ©.
Il faut bien que je reconnaisse n’avoir rien perdu Ă ĂȘtre patient.
Grandiose, et le mot est faible, votre message remet les pendules Ă l’heure et les Bruxellois Ă la petite place qu’ils n’auraient jamais dĂ» quitter.
Mais quels ingrats, voilĂ qu’ils essaient de mordre la main qui les nourrit, Ă cause d’une barbecue party ratĂ©e ou de quelques heures de sommeil perdues. Veulent-ils faire de Bruxelles une ville de province, avec couvre-feu bligatoire de 23h Ă 07h ? BientĂŽt il fermeront aussi les cinĂ©mas et puis les trams de la STIB, qui grincent dans la nuit.
Heureusement que notre pays dispose encore d’homme de votre tempĂ©rament pour faire la diffĂ©rence entre l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral et quelques intĂ©rĂȘts particuliers banalement Ă©gocentriques.
Et si, aprĂšs cette nĂ©cessaire dĂ©claration solennelle, la parti socialiste ne veut plus de vous, ne vous inquiĂ©tez pas, le MR saura reconnaĂźtre les siens. Madame Onkelinx vous y rejoindra peut-ĂȘtre avec Monsieur Marcourt, afin de mettre la derniĂšre main au dĂ©veloppement de cette grande infrastructure europĂ©enne, que le monde entier nous envie
et que Louis Michel n’arrivera plus Ă dĂ©placer Ă Beauvechain.
Encore merci, vous restez le grand visionnaire que j’ai toujours admirĂ© et vous le doublez d’un grand communicateur.
Un admirateur discret mais tellement Ă©mu,
Y.V.
survolé mais consentant