Extrait d’un article de Louis-Gilles Francoeur dans le quotidien québécois «Le Devoir», 30/12/2003.
«La nouvelle gare centrale intermodale de Berlin sera aussi reliée au nouvel aéroport, qui remplacera les deux existants, où l’on taxera pour la première fois les avions en fonction de leurs émissions en GES (gaz à effet
de serre), que Berlin entend comptabiliser dans son bilan.»
Relocalisation des aéroports mal situés et taxation des émissions polluantes des avions ne sont donc pas utopiques, ni économiquement impraticables. Elles semblent même être les conditions nécessaires à un développement « soutenable » de ce mode de transport. BIAC et nos décideurs
politiques fédéraux et régionaux sont-ils au courant ?