Enfin un peu de bon sens

Commentaire d’un membre :

Enfin un peu de bon sens. Naturellement, diminuer le trafic aĂ©rien va encore dĂ©clencher d’horribles cris indignĂ©s au nom de l’emploi. Mais bon, c’Ă©tait dĂ©jĂ  le cas pour les premiĂšres lois sur le travail des enfants, les premiers congĂ©s payĂ©s, la participation patronale Ă  la collectivisation des soins et des pensions  etc, Chantage « has been » si il en est ! EcƓurant.

Un extrait d’un ancien article du Soir

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) La seule solution, au final, c’est de voler moins. Ce n’est que comme ça qu’on pourra arriver Ă  des chiffres rĂ©alistes par rapport Ă  nos objectifs climatiques. Ça vaut pour tous les citoyens, mais ça vaut en particulier pour les voyages d’affaires. Il y a un vrai potentiel de rĂ©duction de la demande dans ce secteur. On s’en est rendu compte avec la pandĂ©mie : on n’est pas obligĂ© de traverser l’Atlantique pour une rĂ©union. Ça ne veut pas dire qu’on ne volera plus jamais. Mais on doit rĂ©duire, et pour les vols restants, les SAF peuvent jouer un rĂŽle. Et pour encourager leur dĂ©veloppement, il faut pouvoir les financer. Or, le secteur de l’aviation reste, Ă  l’heure actuelle, largement sous taxĂ©. Il y a des dizaines de milliards Ă  rĂ©cupĂ©rer au niveau europĂ©en (un rapport de T&E chiffrait le manque Ă  gagner à 700 millions d’euros pour la Belgique en 2022, NDLR) ! Par ailleurs, des prix plus Ă©levĂ©s, c’est aussi un moyen de rĂ©duire la demande