Oui, on peut Ă©viter de survoler Bruxelles, mais il a fallu lâapplication stricte des normes de bruit pour que certaines compagnies sâadaptent (elle ont eu 15 ans pour le faire).
Qui sâoppose: Belgocontrol et BAC, pour des raisons de ralentissement de cadence et leur refus dâadapter en consĂ©quence les heures de dĂ©parts consenties aux compagnies.
Un ralentissement de cadence aux heures de pointe pour protĂ©ger la ville, câest le prix Ă payer pour le privilĂšge de disposer dâun aĂ©roport situĂ© Ă moins de 12km de la capitale de lâEurope.
Il faut maintenir strictement lâapplication des normes lĂ©gales. Câest sous la contrainte que BAC, Belgocontrol et les compagnies finiront pas trouver les moyens de sâadapter.
Et si certains se délocalisent à LiÚge ou à Charleroi, cela ne fera pas un emploi belge en moins.
Quant Ă ceux qui quitteront le Belgique avec leurs bruyants B747 de  nuit, personne ne sâen plaindra, Ă part BAC qui perdra quelques recettes. Et puis quand mĂȘme des travailleurs, mais pas les 200 annoncĂ©s et qui, tĂŽt ou tard, auraient Ă©tĂ© remplacĂ©s pour la plupart grĂące Ă la gĂ©nĂ©ralisation de la RFID, des chaines automatisĂ©es et des robots.
YV 12/05/2017