Je suis obligĂ© une fois de plus de dĂ©noncer l’exagĂ©ration des vols au-dessus de Bruxelles ce dimanche 15 avril. La situation est intenable et inadmissible. A certains moments de la journĂ©e, les survols Ă trĂšs basse altitude s’enchaĂźnent sans discontinuer, au mĂ©pris du repos dominical des citoyens bruxellois. Que faudra-t-il Ă nos politiciens pour qu’ils se rĂ©veillent enfin, pour qu’ils comprennent qu’on ne peut plus laisser aller la situation actuelle, qui mĂšne dans l’impasse. Trop de bruit, trop de pollutions dans le ciel, les confĂ©rences scientifiques sur la question s’enchaĂźnent mais restent lettre morte dans les faits. On veut taper sur les simples citoyens, quand c’est facile de le faire, la voiture devient un luxe, ce sera bientĂŽt le cas de se chauffer … mais les avions ? On ne fait RIEN, prĂšs de 30°C ce 15 avril, mais aucun homme, aucune femme politique pour dire STOP au massacre du kĂ©rozĂšne dans le ciel, comme si l’avalanche de dĂ©cibels que nous devons subir en quasi-permanance n’Ă©tait pas suffisante en elle-mĂȘme. Je pense qu’on attendra la catastrophe finale. Un crash sur les toits de Bruxelles, un dĂ©rapage sanitaire suite Ă l’emballement de la bombe climatique. Permettez-moi de vous dire que vous, politiciens belges, sciez la branche sur laquelle vous vous ĂȘtes installĂ©s.
Thierry Preusser.