Il est minuit, Docteur Verhofstadt

Il est minuit Docteur Verofstadt, et je ne dors pas, et mes enfants sont rĂ©veillĂ©s et ma femme dort dans la cave, Ă  cĂ´tĂ© du cochon d’inde, dans cette froideur d’hiver qui n’a d’Ă©gale que votre cÂśur.

Pourquoi diable ne venez-vous pas voir le dégât que cause le plan anciaux dans nos petites maisons ?

Parce que nous parlons le français à la maison ?
Car vous avez honte Ă  l’avance de venir constater une rĂ©elle souffrance totalement injuste et injustifiable sauf peut-ĂŞtre par monsieur Landuyt après une thĂ©rapie collective qu’il compte imposer Ă  l’Oostrand ?

Pourquoi ne pas voir la rĂ©alitĂ© ? votre gouvernement va de toute façon tomber. Alors, un peu de fiertĂ© s’il vous plaĂ®t ! Relevez la tĂŞte et affrontez les vrais questions sans vous voiler la face. Nous souffrons depuis dimanche de pratiquement tous les atterrissages sur la piste 02 concentrĂ©s sur une piste et Ă  très basse altitude et ce jour et nuits.

C’est drĂ´le, Bert, lui n’a plus aucun avion chez lui. C’est probablement ce que vous appelez la juste dispersion du bruit juste par le « JUSTE « Landuyt

Vous attendez que l’on dĂ©barque sur les pistes de l’aĂ©roport, qu’on jette de la peinture sur les pistes ou que l’on fasse un lâcher de souris dans les conduites d’aĂ©ration de l’aĂ©roport ???????

Je suis persuadé que certains le feront un jour, exaspérés de ne plus dormir, de ne plus vivre.

Fermer les yeux sur la souffrance peut conduire Ă  des extrĂŞmes.

A. V.

Bruxelles.