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Voici comment transformer Brussels Airport en un aéroport de l’avenir (tout en assurant le repos des riverains).

• L’introduction d’une interdiction des vols de nuit.
• Un plafonnement du nombre de mouvements de vol.
• L’introduction d’une zone de basses émissions en l’air, de sorte que seuls les avions peu bruyants et à terme les avions à faible émission de carbone puissent atterrir à l’aéroport.
• L’instauration de limites sonores et de limites de fréquence, afin de réduire les nuisances sonores au sol.

Le permis d’environnement de l’aéroport expirera mi-2024

C’est donc le moment de forcer nos autorités et l’exploitant de l’aéroport à tenir compte des problèmes sanitaires et environnementaux causés par l’aéroport au moment du renouvellement du permis.

Saviez-vous par exemple que…

• le bruit des survols, des opérations de l’aéroport au sol et de l’énorme quantité de trafic routier conduit à de graves problèmes de santé chez les riverains et provoque des troubles cognitifs chez les enfants ?
• l’intense trafic aérien augmente les taux de particules ultrafines jusqu’à une distance de 7 km de l’aéroport ? L’exposition aux particules ultrafines amplifie le risque de maladies cardiovasculaires et pulmonaires et peut avoir un impact négatif sur la croissance des fœtus ?
• la combustion du kérosène entraîne un excès d’azote dans les réserves naturelles autour de l’aéroport, protégées par l’Europe, et constitue ainsi une menace pour la conservation de la végétation locale rare ?
• l’émission de gaz à effet de serre par le transport aérien est l’une des causes du changement climatique qui se développent le plus rapidement ? Ce n’est que récemment que les acteurs concernés ont commencé à faire des efforts timides pour réduire les émissions de CO2 ?

Dans cette vidéo, quelques riverains décrivent ce que c’est que d’habiter près de l’aéroport. Vous comprendrez pourquoi ils n’en dorment pas…

On est plus forts ensemble

Nos autorités et l’exploitant de l’aéroport doivent affronter la réalité. Mais surtout : ils doivent prendre les mesures nécessaires pour limiter l’impact négatif de Brussels Airport. C’est pourquoi le Bond Beter Leefmilieu a joint ses forces avec des groupes d’action de la périphérie bruxelloise. Ensemble, nous revendiquons l’introduction de quatre mesures :

• L’introduction d’une interdiction des vols de nuit.
• Un plafonnement du nombre de mouvements de vol.
• L’introduction d’une zone de basses émissions en l’air, de sorte que seuls les avions peu bruyants et à terme les avions à faible émission de carbone puissent atterrir à l’aéroport.
• L’instauration de limites sonores et de limites de fréquence, afin de réduire les nuisances sonores au sol.

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Avec votre support nous pouvons ancrer ces ambitions dans le nouveau permis d’environnement !

Supportez-nous avec votre signature !

Signez notre pétition et joignez-vous à nous pour demander que les gouvernements flamand et fédéral prennent des mesures pour rétablir l’équilibre entre les intérêts économiques du secteur de l’aviation d’une part et la santé publique des riverains et l’environnement d’autre part.

Oui, je signe la pétition ! 

Partagez notre message vidéo avec votre famille, vos voisins, amis et collègues et demandez-leur de signer la pétition. Chaque signature compte !