Je souhaiterais rĂ©pondre Ă l’auteur du mail [« Monsieur PicquĂ©, je ne vous comprends plus trĂšs bien… »->art778].
Il est vrai qu’en thĂ©orie, la RĂ©gion flamande devrait dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts de l’Oostrand, comme ceux du Noordrand, d’ailleurs. Mais, qu’on le veuille ou non, cette problĂ©matique est pervertie par des considĂ©rations communautaires.
L’usage intensif de la piste 02/20 est devenu un moyen de pourrir la vie des francophones de la pĂ©riphĂ©rie Est, prĂ©sentĂ©s comme de »riches bourgeois fransquillons et Ă©goĂŻstes ». Ces citoyens, qui n’ont pas plus de droits que les autres, mais ne devraient pas en avoir moins,ne sont dĂ©fendus ni par la RĂ©gion bruxelloise, ni par la RĂ©gion flamande.
Il est dĂšs lors Ă prĂ©voir qu’un accord se fera sur leur dos…
Une solution vraiment Ă©quitable supposerait une approche globale du dossier, et non le dĂ©placement du problĂšme chez le voisin, ou la dĂ©fense exclusive des intĂ©rĂȘts de « sa » RĂ©gion. On peut rĂȘver…
A.L.
Wezembeek-Oppem